Réunion publique du 5 mars

Notre réunion publique s’est tenue le 5 mars de 20h30 à 22h30 et s’est prolongée pendant le pot républicain où nous avons continué à échanger.

Merci à vous tou·te·s qui avez bravé les éléments pour venir nous voir, nous parler, nous interpeller!

Nous avons formé le désormais traditionnel cercle, dans lequel nous sommes tou·te·s à égalité, mélangé·e·s. L’idée centrale de Castelnouveau est bien de vous redonner la parole et le pouvoir, sans jamais faire la distinction entre élu·e·s et électeur·rice·s. En fait, si distinction il y a, elle est dans le fait que nous souhaitons collectivement nous mettre à votre service. Le cercle traduit bien cette proximité que nous souhaitons établir et maintenir, pendant les 6 années à venir.

Thierry (mille mercis pour ton travail!) a pris son rôle d’animateur/organisateur, ce qui permet aux candidat·e·s de se concentrer sur le reste, en sachant que nous avons un œil attentif et une voix pleine de bons conseils.

Présentation de la liste et démarche

Monique a ouvert la réunion en se présentant, et en présentant la démarche de démocratie permanente qui est la nôtre, inspirée notamment par la commune de Saillans dans la Drôme, qui a mis en place une gouvernance collégiale et participative. Pour fonctionner, cette démarche demande une implication active des citoyen·ne·s de tous âges, car si vous souhaitez quelque chose, au lieu de vous faire une promesse maintenant et de l’oublier ensuite, nous vous faisons une seule promesse: celle de discuter chacune de vos propositions, avec les habitant·e·s qui s’impliqueront, et d’appliquer le résultat de ces discussions.

Bien évidemment, elle a aussi parlé des propositions d’Anticor et de nos engagements sur ces bases. Que ce soit le non cumul de mandats ( ce qui inclut, Monique l’a rappelé, de ne pas utiliser le mandat municipal comme une « marche » vers un échelon plus élevé), la prévention des conflits d’interêts, la transparence et le contrôle (ce qui veut dire que nous vous rendrons des comptes en permanence!) mais aussi la reconnaissance du rôle des élu·e·s minoritaires, nous pensons que cela pourra dynamiser la vie municipale et améliorer votre confiance en vos élu·e·s.

Nous avons bien entendu quelques idées de choses que nous aimerions voir pousser dans notre ville, comme les éco-quartiers par exemple, qui fleurissent aussit bien à Fribourg en Brisgau que chez nos voisin·e·s de Saint Jean de Braye. Généralement portés par des citoyen·ne·s, ces projets ne peuvent réussir qu’avec une municipalité attentive.

Cette première partie tenant lieu de présentation de la démarche participative, premier de nos « axes », nous avons enchaîné par une présentation individuelle des candidat·e·s présent·e·s (les absent·e·s ont une bonne excuse, plusieurs membres de la liste travaillaient le 5 au soir).

Discussion « Culture et Sport »

Par commodité, les deux aspects « Culture » et « Sport » sont souvent regroupés dans notre communication, mais bien sûr nous faisons une vraie différence entre les deux, les besoins n’étant pas les mêmes.

Francis a entamé la discussion en vous proposant un changement radical puisqu’il vous a incité·e·s à devenir acteur·rice·s en non plus « simple » consommateur·rice·s de culture.

La culture à Châteauneuf

Lecture et bibliothèque

Une des suggestions portées par Francis est que nous devrions envisager de porter la lecture vers les habitant·e·s, notamment bien sûr celles et ceux qui ont du mal à se déplacer, en organisant une bibliothèque itinérante où une personne peut aller proposer un livre à une autre, afin d’échanger ensuite sur ce que chacun·e en a pensé. Un interêt de cette démarrche par rapport aux « boîtes à livres » est que, les personnes se rencontrant, un échange naitra. On peut aussi imaginer un portage de livres comme il y a un portage de repas, pour les personnes malades ou qui ne peuvent se déplacer.

Mémoire(s)

Nous avons reparlé de capter les mémoires de Castelneuvien·ne·s, par exemple par des interview audio et vidéo. C’est assez proche du travail extraordinaire de collectage des musiques traditionnelles qui a eu lieu à partir des années 70, qui a sauvé une riche répertoire. On pourrait imaginer restituer ces collectes en les faisant jouer pas les témoins ou des acteur·rice·s bénévoles.

Francis a aussi introduit, en provenance d’une de nos réunions précédentes, la culture culinaire: il s’agit pour des habitant·e·s de partager des recettes issues de leurs cultures (d’origine ou d’adoption) avec les autres. Des professionnel·le·s de la cuisine pourraient « encadrer » ces ateliers par , pour faciliter le partage. Ce travail pourrait aussi faire l’objet d’une collecte pour pérenniser des échanges (comme « Prutschel Eck », livre de recettes bilingue de Moselle, qui collecte des recettes issues des cultures ouvrières du bassin houiller de Lorraine). C’est bien l’ensemble de ces « petites » cultures qui font la Culture, et il nous appartient, à nous citoyen·ne·s, de les faire vivre.

Cinéma, thêatre, fêtes…

Francis a ensuite cédé la parole à Fabien, qui a interpellé la salle: on entend souvent dire que les choses pourraient être mieux, mais si on veut passer de consommateur·rice à acteur·rice, il ne suffit pas de le dire, il faut identifier ce qui ne va pas et surtout savoir ce que l’on souhaite.

Vous nous avez parlé de plusieurs fêtes Castelneuviennes comme les Rhodos ou le 14 Juillet et son grand marché, qui soit n’existent plus ou pour lesquelles « c’était mieux avant ». Le pari est de faire revivre ces fêtes avec vous, sans doute avec un engagement bénévole, et de faire de ces fêtes VOS fêtes.

Bien sûr le cinéma a été évoqué, à Châteauneuf aujourd’hui l’offre se résume au Ciné-Mobile, et cela crée un manque pour beaucoup. S’il faut prendre sa voiture pour aller à Orléans ou Sully pour voir un film, cela peut rebuter. De plus, à l’heure où les actions humaines sur le climat deviennent évidentes, ce n’est pas très sensé. Nous entendons donc une forte demande pour le retour du « ciné club » qui a existé il y a des années, ou pour les séances de cinéma de plein air organisées l’été il y a moins longtemps.

Une personne de Chatillon-sur-Loire est étonnée qu’une ville de la taille de Châteauneuf n’ait aucun festival, musical, thêatral -ou artistique de manière générale- là où une commune de 3000 habitant·e·s y parvient. Cette personne nous dit aussi que, le jour de la Fête de la Musique, elle n’a pas trouvé d’endroit pour l’accueillir quand elle avait envie de jouer d’un instrument.

Une autre personne nous a parlé de thêatre, elle donne des cours aux alentours et est étonnée de ne voir aucune troupe amateur à Châteauneuf. Certain·e·s des ses élèves à Orléans viennent de notre ville.

Il nous faut créer le cadre de ce renouveau, en favorisant l’accès à toutes ces expressions artistiques.

Une personne nous a parlé du « 12-15 », structure d’accueil pour les enfants, qui organisait des voyages, des fêtes, et nous a dit « c’était extraordinaire ». Ce que nous souhaitons, c’est remettre ceci au présent, et nous serons satisfait·e·s quand nous entendrons à nouveau , »c’est extraordinaire ».

Le sport à Châteauneuf

Nous sommes ensuite passé·e·s au·x Sport·s, dont il semble à beaucoup de monde que l’offre actuelle n’est pas assez variée, les structures pas assez accueillantes pour les pratiquant·e·s. Certaines catégories de personnes sont mal ou pas accueillies.

Les rivalités entre associations utilisant les mêmes équipements achèvent d’aggraver le tableau. Cela crée des conflits et des postures là où tout le monde devrait travailler ensemble dans l’interêt des sprotif·ve·s de tous âges, disciplines, genres.

Inclusion

Il faut donc repenser le sport à Châteauneuf, pour accueillir plus facilement les pratiquantEs, les personnes en situation de handicap… Il n’est pas acceptable aujourd’hui de se contenter de dire « on ne peut pas accueillir tout le monde ». Il n’est pas acceptable de laisser les habitant·e·s aller ailleurs pour leur sport favori.

Un des enjeux des années à venir est l’utilisation des équipements qui vont être construits en même temps que le futur lycée, et de mettre les nouveaux espaces au service des habitant·e·s.

Variété

Une personne propose aussi que l’on fasse venir à Châteauneuf des sportif·ve·s plus ou moins connu·e·s pour promouvoir la variété des pratiques, et encourager tout le monde à venir pratiquer le sport qui leur fait plaisir.

Environnement

Laurent a pris la parole pour parler écologie et environnement, en évoquant des sujets sur lesquels nous avons déjà échangé plusieurs fois.

Il est clair pour nous, et vous semblez partager cet avis, que la prise en compte des urgences actuelles impose une changement de mode de pensée. Depuis les années 1970 et le rapport « Les limites à la croissance » (également connu comme le « rapport Meadows ») nous savons qu’une croissance infinie dans un monde fini est impossible (ou alors il faut être un fou ou un économiste).

Nous devons donc en tirer des conséquences, et l’action commence à notre niveau individuel.

La plupart des engagements de Castelnouveau se retrouvent dans notre réponse au questionnaire de CSLT, lisible ICI.

Nous inscrirons donc Châteauneuf dans une trajectoire « Zéro déchet » en travaillant tou·te·s ensemble sur cet aspect, en commençant par une politique d’achats communaux responsable qui privilégie le durable, la réparation du matériel en panne. Bien sûr, nous agirons pour pousser cet aspect au niveau de la Communauté de Communes des Loges, l’union fera la force, là dessus comme partout.

Nous souhaitons aussi voir une recyclerie apparaître, qui permette de garder dans le circuit les objets obsolètes, tout en créant des emplois locaux, en formant des personnes et aussi en fournissant des objets à prix modique pour tou·te·s les habitant·e·s.

Nous souhaitons aussi mettre en place une politique de « 100% bio » dans les cantines, et impulser cela pour les cantines qui ne dépendent pas de la ville (Collège, futur lycée, maison de retraite…).

En parallèle, il nous semble important de créer une régie municipale de culture maraîchère, pour cultiver sur des terrains communaux des légumes bio et locaux. Cela pourra créer des emplois d’insertion/formation, mais aussi, permettre aux enfants de la Ville de participer de temps en temps à la culture de leurs aliments (et au passage on revient sur la Culture, par un chemin un peu détourné).

Bien entendu, nous souhaitons retravailler les mobilités douces à Châteauneuf, la solution de cheminements partagés entre usager·e·s vulnérables étant une source de danger pour les piétons et les cyclistes (ou alors il faut que les cyclistes se déplacent au pas et l’avantage du cycle disparaît). Il y a bien sûr quelques cas où ce partage a du sens, mais ils sont assez limités: voir ce lien par exemple. Il nous faut donc, collectivement, repenser le plan de circulation de notre commune pour encourager les mobilités douces dans un cadre sécurisé.

Enfin, l’aspect de la consommation énergétique des bâtiments va aussi devoir être revu, en parallèle avec la production locale d’énergies renouvelables (Nicole Bouilly nous a parlé de l’expérience, menée il y a des années, du panneau photovoltaïque sur le toit du collège. Il est clair qu’il est important, aujourd’hui, de penser à nouveau à ces solutions).

Economie

Damien a pris ensuite le relais pour parler de l’économie. Nous voyons l’économie comme un outil qui doit être mis au service des humains, ce qui explique que nous ne le mettions pas au dessus des autres axes. Mais nous pouvons nous servir de l’économie comme levier pour avancer sur les autres aspects, et inversement les axes de notre programme peuvent permettre de dynamiser l’économie.

Ainsi, des choix aussi anodins que de localiser le Téléthon dans l’espace Florian au lieu de le faire sous la nouvelle halle a sans doute un impact: on peut venir à Florian en évitant le Centre et la Grand’Rue, là où se trouvent les commerces. Si le même évènement a lieu sou s la halle ou, mieux, un peu partout, on incite le public à circuler aux endroits où sont les commerces. Si chaque évènement culturel ou sportif est aussi envisagé sous cet aspect, il est possible de créer des effets qui vont au delà des compétences de la Commune.

L’inscription de Châteauneuf dans l’expérimentation « Zero chômeur de longue durée » permettra de répondre aux besoins des personnes les plus éloignées de l’emploi aujourd’hui. Plutôt que des incantations (« mettez les au travail ») qui ignorent la réalité, nous pensons que chaque homme chaque femme, veut vivre dignement de son travail sans devoir mendier, et cette expérimentation est sans doute une des pistes qui permettent à la fois de favoriser le retour à l’emploi d’un maximum de personnes, mais SURTOUT, de déculpabiliser les personnes sans emploi.

Bien entendu, créer de nouveaux emplois, notamment via cette initiative, ne veut pas dire négliger les emplois existants, donc nous étudierons tous les moyens permettant de favoriser la reprise des commerces plutôt que leur fermeture. Ceci est d’autant plus vrai que, pour un·e commerçant·e en fin de carrière professionnelle, la reprise de son activité constitue souvent la seule réelle retraite.

Une personne a rebondi sur le proposition de dynamiser le centre-ville, en proposant de rendre la Grand’Rue piétonne une fois par mois. . C’est une suggestion intéressante mais il nous faudra en reparler et examiner l’impact de telles initiatives. (Nous nous rappelons d’une telle action pendant la dernière coupe du monde de football, où la Grand’Rue était devenue un espace paradisiaque pour piéton·ne·s et cyclistes l’espace de quelques heures!)

On nous a parlé du besoin de relier le centre et la périphérie pour permettre aux personnes qui en ont besoin d’atteindre les commerces. Des navettes électriques ou un « petit train » ont été mentionnés comme moyen de répondre à ce besoin. Aujourd’hui il existe un service spécifique, qui ne répond par forcément à tous les besoins.

Enfin, une troisième personne nous a parlé du fait que les parents d’élèves, les écoles et le collège ne font pas forcément leurs achats de livres ou fournitures en ville. Dans la mesure du possible, nous souhaitons agir sur ce genre de choses, par exemple en favorisant des partenariats entre commerçants, écoles et mairie, ou par le biais d’outils tels que la Monnaie Locale.

Bien être

Dernier sujet de la soirée, le bien-être et le bien-vivre. Emmanuelle nous a rappelé la définition du bien-être de la santé selon l’OMS. Ces deux notions ne se caractérisent pas juste par un état « statique » mais surtout par un sentiment intérieur. La santé n’est pas juste l’absence de maladie mais le sentiment de bien-être en fait intégralement partie.

C’est exactement ce que nous recherchons, à savoir retrouver à Châteauneuf des conditions qui font que nos concitoyen·ne·s se sentent bien et heureux d’être ensemble.

Monique nous a parlé de l’inclusion, qui nous conduit à améliorer notre ville pour qu’elle devienne accessible à tous et toutes, tout le temps. Il doit devenir possible de se déplacer dans Châteauneuf que l’on soit jeune, vieux, valide, blessé, en situation de handicap. Cette nécessité recoupe de nombreuses choses, que ce soit de rendre les trottoirs praticables en fauteuil roulant, ou lutter contre les délits de stationnement gênant (qui font qu’en plusieurs endroits on retrouve les poussettes sur la route, chassées par les automobiles stationnées) .

Nous avions envisagé d’éditer nos bulletins de vote en Braille, mais les contraintes techniques sont fortes et la loi impose que toutes les listes en présence fassent de même.

L’inclusion devra se retrouver à tous les niveaux de la politique de la Ville, et nous prendrons en compte tous les aspects pour chacun de nos projets, en relation avec les usager·e·s ou les associations pour recueillir leur avis et obtenir leur validation.

Enfin, Nicole a parlé des liens directs entre écologie et santé, que ce soit la qualité de l’air, ou le fait de manger moins de viande pour être en meilleure santé.

Bien entendu, même si le bien-être ne se limite pas à l’absence de maladie, il faut tout de même améliorer l’offre médicale. C’est pourquoi nous souhaitons faire venir des bus médicaux à Châteauneuf et dans la CCL, mais aussi étudier la possibilité d’utiliser les locaux de la maison de retraite actuelle, quand ils seront libres, pour proposer d’y installer des cabinets de spécialistes.

Questions diverses

Nous avons tiré parti du temps qui nous restait à la fin pour échanger sur les sujets qui n’avaient pas forcément été débattus auparavant.

Ainsi nous avons parlé de l’importance du numérique dans la vie actuelle. Des personnes nous ont dit que le site actuel de la ville ne répondait pas aux besoins, ou manquait d’informations. Dans les propositions d’Anticor que nous reprenons, beaucoup concernent l’accès à l’information et nous souhaitons pour notre part, non seulement mettre en ligne les conseils municipaux, mais aussi les diffuser en direct sur une chaîne vidéo, et construire un site qui soit à jour et réellement utile. Toutes les associations de Châteauneuf devraient être présentes sur ce site, accessibles et avec des informations à jour.

Des membres de l’association de l’amitié Franco Turque nous ont questionné·e·s sur le « vivre ensemble », et nous avons reparlé de la démocratie permanente et de notre collaboration avec toutes les associations. Dans ce cadre, les seules promesses que nous faisons (non pas que l’on nous ait demandé des promesses spécifiques) sont de débattre de tous les projets qui seront proposés et de mettre aux voix ceux qui seront faisables.

Une personne a profité de ce temps pour revenir sur une de nos publications concernant la bibliothèque, qui n’est pas vraiment mise en valeur aujourd’hui. La publication était très courte, mais nous confirmons que l’idée n’est pas juste de déplacer la bibliothèque mais bien d’une volonté de la mettre plus en valeur avec des projets d’ouverture sur la ville.

Des randonneurs de Châteauneuf voulaient comprendre ce que nous voulons dire quand nous parlons de rendre la Loire aux Castelneuviens. Bien sûr, nous ne nions pas que la Loire soit accessible, mais il nous semble que le Fleuve et ses environs devrait être mieux mis en valeur et que la communication devrait être axée aussi sur lui. Une initiative comme « Châteauneuf-plage » pour l’été nous semble très désirable. Il faut aussi peut-être mettre en place des panneaux d’information, notamment naturalistes, sur les animaux présents pas exemple.

Nous avons aussi été interpellés sur l’entretien des fossés, que ce soit le fauchage au bon moment (trop tôt et la bio-diversité est touchée, trop tard et les graines matûres propagent des herbes), ou bien le curage qui cause des débordements à certains endroits. Nous reviendrons sur ces points avec vous pour travailler ensemble à mettre en place des solutions qui conviennent à toutes et tous. Ce point a eu l’intérêt de montrer que l’expertise est ici chez les habitant·e·s qui, en fonction de leurs usages, peuvent savoir mieux qu’un·e spécialiste ce qu’il convient de faire.

Le dernier point abordé a été notre engagement sur les propositions d’Anticor, déjà expliqués ailleurs sur notre site.

Après rangement de la salle, nous avons terminé par le pot républicain.

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